L'histoire du marché de Noël
Publié le 19 Décembre 2009
Le marché de Noël avait déjà commencé depuis une semaine quand le numéro 13 ouvrait ses portes avec une grande bannière de l'aumônerie au fond. Le planning était
déjà bien plein, les jeunes devaient se relayer toute la journée du samedi 12 décembre, avec un parent pour les accompagner.
Le chalet est bien achalandé, entre éternelles
bouteilles de jus de pomme et sachets de pop-corn, nos best sellers, nous proposons des crèches, des pêle mèle à photos, des couronnes de l'avent et des bottes...
Monsieur Vanvincq, avec Naomie, Sarah et Amandine ouvrent les hostilités à 10h30, il y a encore beaucoup de petits coups de tournevis à donner pour que tout soit prêt, il faut tout installer, il n'y a pas de nappe rouge, tous les articles ne sont pas là... Mais ce n'est pas grave, nous ouvrons et on complète au fur et à mesure de la matinée. A 12h30, Quentin et sa mère prennent la relève, Margaux les rejoint vite. Le marché du samedi matin plie ses gaules pour nous laisser face au mur de la mairie, le fameux moulin à café sur la grand'place.
Les gens passent et s'arrêtent jusque 14h30 où c'est Geneviève, avec Thomas, Océane et Charles. Les articles partent tranquillement.
Alexis, Sophie et Coralie, souvent pris par leurs études passent nous dire bonjour
et s'offrent un tour de calèche.
Nicolas et Sabine se préparent pour le dernier quart, la nuit est tombée, le divin
enfant grésille dans les haut parleur de la place. Honoré et sa soeur arrivent, Thomas est encore là. Un pêle mèle, une bouteille, une crèche qui part, et un porte bouteille horizontal, une drôle
d'idée qui plait !
Je sais, je vous ai abandonné une semaine complète et ne vous ai même pas conté l'après-midi de dimanche, qui en comparaison avec ce samedi fut bien chaud... Nous étions presque plus nombreux derrière le comptoir que devant, nous devons courir pour faire de la monnaire, les équipes Saint-Vincent de Paul n'en ont plus non plus, le Lions Club nous dépanne.
Nous vendons plutôt bien et repartons vers 19h, en laissant le jus de pomme là... Aux
prises avec le froid. En milieu de semaine, pour éviter de vendre des galçons aux pommes, nous venons le rechercher.
Samedi 19 décembre, il neige, il fait froid, le marché n'est aps très peuplé. Nos voisins chalets n'ouvrent que l'après-midi. On installe une grosse bougie qui ne nous réchauffe pas tant que ça, mais bon, ça fait une flamme.
Pour le chocolat chaud nous nous sommes industrialisés :
plaques chauffantes et casseroles ! Florence ne connais pas encore les techniques scoutes pour ne pas faire de vaisselle, mais bon...
Thomas est encore là, avec Margaux et Valentine. Dans l'heure de midi et jusque la fin de
la journée c'est morne plaine, peu de monde, peu de ventes... Il fait trop froid, tout le monde s'est certainement précipité dans les rayons de Auchan... Tant pis, nous finissons le chocolat
chaud nous-mêmes, et ça fait du bien !

Monsieur Vanvincq, avec Naomie, Sarah et Amandine ouvrent les hostilités à 10h30, il y a encore beaucoup de petits coups de tournevis à donner pour que tout soit prêt, il faut tout installer, il n'y a pas de nappe rouge, tous les articles ne sont pas là... Mais ce n'est pas grave, nous ouvrons et on complète au fur et à mesure de la matinée. A 12h30, Quentin et sa mère prennent la relève, Margaux les rejoint vite. Le marché du samedi matin plie ses gaules pour nous laisser face au mur de la mairie, le fameux moulin à café sur la grand'place.
Les gens passent et s'arrêtent jusque 14h30 où c'est Geneviève, avec Thomas, Océane et Charles. Les articles partent tranquillement.
Je sais, je vous ai abandonné une semaine complète et ne vous ai même pas conté l'après-midi de dimanche, qui en comparaison avec ce samedi fut bien chaud... Nous étions presque plus nombreux derrière le comptoir que devant, nous devons courir pour faire de la monnaire, les équipes Saint-Vincent de Paul n'en ont plus non plus, le Lions Club nous dépanne.
Samedi 19 décembre, il neige, il fait froid, le marché n'est aps très peuplé. Nos voisins chalets n'ouvrent que l'après-midi. On installe une grosse bougie qui ne nous réchauffe pas tant que ça, mais bon, ça fait une flamme.