Les jeunes de l’aumônerie de st-Omer ont pu remettre ce samedi 21 avril à Mr Eyzop de l’association Raoul Follereau un chèque qui ira au profit des actions pour les lépreux. Au cours d’une rencontre 6ème les jeunes avaient confectionnés des gâteaux avec des parents bénévoles et le soir au cours de la messe au relais sainte-Catherine aidés des lycéens (qui avaient participés à l’animation musicale) ils avaient vendu leurs gâteaux. Un beau travail d’équipe qui s’inscrit dans le message de Raoul Follereau « vivre c’est aider les autres à vivre » et « être heureux c’est faire des heureux ».

Aujourd'hui, les 5-4-3 ont été séparés en 2 groupes. Arghhh ! comment ont-ils pu oser nos animateurs ainsi nous diviser ? Valentin et Juliette, "animés" par Mélanie et Anne, de passage, sont resté dans la maison, Lucile, Sarah et Laurie, accompagnés de François et Pierre ont arpenté les rues...

Valentin et Juliette, restés à l'aumônerie donc, ont pris des photos pour illustrer un miracle de Jésus : la guérison du paralytique.

Quelques jours plus tard, Jésus revint à Capernaüm, et l'on apprit qu'il était à la maison. Une foule de gens s'assembla, si bien qu'il ne restait plus de place, pas même dehors devant la porte. Jésus leur donnait son enseignement. Quelques hommes arrivèrent, lui amenant un paralysé porté par quatre d'entre eux. Mais ils ne pouvaient pas le présenter à Jésus, à cause de la foule.

Ils ouvrirent alors le toit au-dessus de l'endroit où était Jésus ; par le trou qu'ils avaient fait, ils descendirent le paralysé étendu sur sa natte.

Quand Jésus vit la foi de ces hommes, il dit au paralysé : « Mon fils, tes péchés sont pardonnés. » Quelques maîtres de la loi, qui étaient assis là, pensaient en eux-mêmes : « Pourquoi cet homme parle-t-il ainsi ? Il fait insulte à Dieu ? Qui peut pardonner les péchés ? Dieu seul le peut ! »

Jésus devina aussitôt ce qu'ils pensaient et leur dit : « Pourquoi avez-vous de telles pensées ? Est-il plus facile de dire au paralysé : «Tes péchés sont pardonnés», ou de dire : «Lève-toi, prends ta natte et marche» ? Mais je veux que vous le sachiez : le Fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés. » Alors il adressa ces mots au paralysé : « Je te le dis, lève-toi, prends ta natte, et rentre chez toi ! »

Aussitôt, tandis que tout le monde le regardait, l'homme se leva, prit sa natte et partit. Ils furent tous frappés d'étonnement ; ils louaient Dieu et disaient : « Nous n'avons jamais rien vu de pareil ! »

Tandis que Lucile, Sarah et Laurie ont interviewé des personnes dans la rue en leur posant trois questions très simples. :

Un miracle, c'est quoi ?

Les miracles, ça existe ?

Vous avez déjà vécu un miracle ?

Bien évidemment les têtes des gens, à la première question, souriaient, semblait incrédules, pris comme ça à l'improviste, la réponse n'est pas si évidente... Quelque chose que l'on ne comprend pas, que l'on ne peut pas expliquer par la sciences, un signe de Dieu, quelque chose d'intattendu... certains ne croient pas aux miracles, parce que les miracles ce n'est qu'à Lourdes. D'autres voient dans pleins de petits signes des miracles, une naissance est un petit miracle, le miracle de la vie. Mais gagner au Loto, ce serait un miracle ? Et quand on voit des jeunes qui se sortent de situations très difficiles, ce ne serait pas un miracle ? Et Dieu dans tout cela ?

Nous croisons Jean-Paul et Guislaine, qui reviennent du cercle de silence. Jean-Paul nous raconte un voyage au lac de Thibériade. Ils étaient dans une barque, sur le lac, en train de lire le récit de la tempête apaisée. Quand tout à coup les eaux se sont mises à monter. Quelques minutes, pas plus, mais la tempête était là. Comme dans le miracle de Jésus. En revenant à terre, les habitants n'étaient pas plus étonnés : cela arrive régulièrement. Le miracle serait alors peut-être quelque chose de naturel qui tout à coup nous dépasse ? Guislaine continue avec la multiplication des pains, Jésus avait-il réellement seulement 5 pains et 2 poissons pour nourir les 4000 hommes ? Ou a-t-il demandé à chacun de partager le peu qu'il avait ? Le partage est peut-être le sens de ce miracle. En nous réunissant dans nos groupes de discussion, à l'aumônerie, nous repartons souvent plus riches de nos échanges... Un vrai miracle ?

Quand tout le monde fut rentré, les images dans la boîte, nous sommes allés dans l'oratoire pour faire un temps de prière, en écoutant l'Evangile de Marc qui nous parle du paralytique (Marc 2, 1-12) et en regardant les photos prises par Juliette, Valentin, Anne et Mélanie qui l'illustrait.

Ce soir c'était repas, Laurie, Anne et Mélanie doivent nous quitter, mais nous mangeons de très bonnes pâtes carbo préparées par Pierre, Valentin et Sarah.

Cette année, les collégiens sont invités pour un camps à la découverte de l'habitat écolo, à Thiembronne (près de Fauquembergue). Du 20 au 23 aout 2012 - Inscriptions auprès de l'aumônerie. 

Quand j'entre dans cette maison, sans sonner puisque j'ai la clef, je me revois quelques années plus tôt, quand j'avais ton âge et que je poussais la porte de l'aumônerie. Ti Amzer Zo on l'appelait, « La Maison où l'on se sent bien ». Et c'est vrai que je m'y sentais bien, affalé dans les canapés blancs en sortant du lycée. Un biscuit, un sourire et un jus de fruit nous y attendait toujours. On parlait avec les copains de la journée qui venait de passer, on se défiait au baby foot -J'prends la gagne- comme toi qui laisse exploser ton enthousiasme chaque fois que la balle de liège rentre dans les caisses. Un vieux baby foot de bar...

Puis on allait faire les courses, imaginant avec notre maigre budget quel repas serait appétissant. Lorsqu'on revenait, les sacs pleins, la maison s'était remplie d'amis que l'on saluait. Le repas se préparait. Il y en avaient qui entraient ou ressortaient, empêchés de rester plus longtemps par quelque activité. Les profs étaient notre sujet de discussion favori, comme vous ici. J'en sais tant sur eux que je n'espère pas les croiser un jour.

On courait ensuite pour se caler dans l'angle du grand canapé qui était confortable, s'envoyant quelques coussins à la figure et tentant d'échapper à la vaisselle, comme toi.

La soirée se poursuivait sur un thème. Les animateurs nous poussaient dans nos réflexions et nos retranchements, avec toujours des points d'interrogations au bout des lèvres. L'école, la vie, la famille, les amis, Dieu, tout y passait, et je m'étonnais de m'ouvrir tant et de me découvrir un avis.

Enfin, on se quittait, les parents nous attendant à la porte dans le noir, discutant avec d'autres parents.

Comment je suis arrivé à pousser cette porte ? La question ne se posait pas, mes parents m'y ont sûrement amené la première fois. J'y avais des amis que je vois encore aujourd'hui, beaucoup de choses se sont nouées dans cette maison, beaucoup de choses ont commencé là.

Aujourd'hui, j'ouvre la porte sans sonner puisque j'ai la clef, mais c'est toujours toi qui m'accueilles, avec tes rires, tes cris, tes doutes et tes joies. Tu m'invites encore à de superbes rencontres, tu me surprends à grandir, partage après partage ; à avoir ton avis et à le défendre, dans le respect de celui des autres.

C'est la même foi, les même rires, les mêmes amitiés que nous partageons et construisons, toi et moi...

Je te vois à la porte, prêt à partir. Tu dis à ton père qui t'entraîne dehors : « je ne veux pas partir, je suis bien ici... » Ce lieu ne s'appelle pas « La maison où l'on se sent bien », mais si nous étions en Bretagne, Ti Amzer Zo serait parfait...

"On passe à Taizé comme on passe près d'une source" a dit le Pape Jean-Paul II en visite sur la petite colline bourguignonne.

Les sources de Taizé, ce sont notamment la prière... Et ces sources là peuvent surgir partout !

Nous avons à coeur de vous inviter une nouvelle fois à ce que nos prières se rejoignent, au rythme des chants de Taizé, des échanges, des partages, témoignages...

Une nouvelle rencontre de Taizé voit donc le jour, cette fois à Arras, le samedi 2 juin 2012.

Elle est organisée par les pastorales de jeunes des trois diocèses du Nord : Lille, Arras et Cambrai.

Programme :

14h : prière à l'église Saint Jean-Baptiste (1 rue Wacquez Glasson, Arras)

15h15 : introduction biblique puis petits groupes d'échange

Goûter

17h : carrefours

19h : pique-nique tiré du sac

20h30 : prière du soir à Saint Jean-Baptiste

Renseignements : lac.taize@gmail.com ou 03.21.21.40.16

- "Pourriez-vous donner un symbole de l'Esprit Saint ?"

- "La bouteille de coca bien sûr !"

Bon, alors aujourd'hui j'ai décidé de ne pas me travestir et de parler en mon nom. Comment un accompagnateur de groupe confirmation vit-il ces rencontres ? Mal pourrait-on dire au premier échange. Je me dis qu'il doit dater d'un moment où nous ne maitrisions plus vraiment le groupe. Mais dire cela signifierait que nous l'avons, un moment dans la soirée, maitrisé... Or est-ce le cas ? J'en doute, l'Esprit souffle où il veut et nous ne pouvons tout contrôler, heureusement. Que vient faire une bouteille de coca là-dedans ? Mais un symbole n'enferme pas tout de ce qu'il symbolise, il ne fait que l'approcher !

Bref, nous sommes assis dans l'oratoire à écouter Mathieu Cossiez et à imaginer les images que le chant nous évoque...

La Création revient souvent, car :

Lorsque l'Éternel Dieu fit une terre et des cieux, aucun arbuste des champs n'était encore sur la terre, et aucune herbe des champs ne germait encore: car l'Éternel Dieu n'avait pas fait pleuvoir sur la terre, et il n'y avait point d'homme pour cultiver le sol.

Mais une vapeur s'éleva de la terre, et arrosa toute la surface du sol.

L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant.

Esprit-Saint souffle de vie ? Esprit-Saint présence ? Esprit-Saint puissance ? Esprit-Saint alliance ? Pas évident de l'imaginer parce qu'après tout il est pas palpable cet Esprit...

A ce stade du récit, faute d'inspiration, hantise du curseur qui trépigne devant moi, folie de facebook qui clignote, appel à la distraction, il est grand temps de retranscrire l'un des clips écrit pour Mathieu Cossiez et qui cherche encore son producteur (à lire avec la musique qui va avec...) :

Dans une prairie, un feu commence à prendre, timidement, le piano égrenne quelques notes. Le vent souffle dans les blés. Un petit bonhomme comme dans la pub MacDo, les cheveux en bataille voyage, seul, il allume un flambeau au feu de la prairie et poursuit son chemin. Tout autour du monde, il rencontre d'autres personnes, à qui il transmet la lumière en allumant leur flambeau. Tous le suivent alors, torches allumées et reviennent vers le feu qui s'est éteint. En cercle, ils baissent tous leurs flammes et rallument le feu qui reprend de plus belle, et lèche les étoiles de ses flammes.

Travelling arrière (selon Honoré), la caméra s'éloigne du feu et monte vers le ciel, elle se tourne vers les étoiles. Une nuée d'oiseaux sauvage passe devant la caméra.

Noir.

En fait non, plutôt jour ! Parce que l'Esprit nous mène vers la lumière.

Wikipedia, à ce moment là s'en mèle... Wikipedia c'est bien pour trouver les symboles, mais leur signification c'est un peu autre chose, l'encyclopédie ne nous aide plus vraiment. C'est certainement à ce moment là que le contrôle nous a complétement échappé. Les ventres criaient au scandale de rester si longtemps vides.

La table nous a alors appelée ! Victuailles se sont amassées et nous avons dit un "ben" (comprenez, en langage scout, un bénédicité) avant de nous jeter dessus pour partager le repas...

L'Esprit Saint a soufflé particulièrement au moment de la mousse au chocolat, silence respectueux et gourmand...

du 13 au 30 juillet, accompagnés par les père Pierre Poidevin et Laurent Boucly, une proposition est faite aux lycéens et étudiants de mettre leur pas dans ceux de Bienheureux Jean-Paul II et de Saint Maximilien Kolbe.

Temps de ressourcement spirituel, de découverte de ces deux grands hommes de la foi, le séjour offrira aussi des temps de détente (randonnées, veillées...)

La date limite d'inscription est au 30 mai ! Dépêchez-vous...

bon, ça se passe dans le diocèse d'à-coté, mais ce n'est pas grave parce que c'est super bien et que nous avons déjà traversé la Manche pour participer à un temps-fort.

C'est à destination des lycéens et plus, et voici le programme :

Marche du Grand Vent 2012 le Jeudi 17 mai 2012  : sur les chemins de Flandres, c'est LE rendez-vous des jeunes du diocèse de Lille.

• 3 routes, par tranche d'age. (14-17 ans, 18-25 ans, 25 ans et +)
• La messe de l'Ascension avec notre évêque (Mgr Ulrich en fait...)
• Un Festival avec des concerts, des débats, des jeux, de la danse, de la prière
• Un bal Folk avec le groupe "Etl' Cage au Folk"
• Des frites : des pommes de terres coupées et trempées dans l'huile bouillante

Julien Carton, chanteur chrétien sera en concert le 13 mai à la Chapelle Ste Croix (la Valeur) le 13 mai à 16 heures !

Bio : Être l’aîné d’une fratrie de six, avec l’adoption de Vanessa en 1999, m’a permis de grandir dans une grande famille, ouverte à la différence et au monde. Le handicap de Vanessa et les jeunes dont nous avons pu croiser le chemin m’a beaucoup appris sur moi-même : la vie a beaucoup de leçons à nous donner ! Vous trouverez ici des mots dits avec le cœur, écrits parfois par des amis, ou en famille… Je souhaite en toute modestie partager ici ce que je vis, ma Foi, ces mots qui m’animent et me portent.

Après quelques années d'aventures musicales avec le groupe Ephata et le groupe Diapa'song du MEJ54 (Mouvement Eucharistique des Jeunes), je continue à partager mon expérience de vie et de Foi comme chanteur chrétien dans un projet qui se veut résolument acoustique: Julien Carton & co (parce que Julien tout seul c'est quand même moins marrant^^.

Piano, guitares, saxophone soprane et percus, esprit tantôt chanson française, tantôt folk, notre musique se veut sobre et efficace, ouvert à tous les âges et toutes les oreilles. Ainsi, je souhaite me rendre disponible pour organiser et/ou animer des veillées pour jeunes et moins jeunes, des rassemblements paroissiaux ou diocésains.

http://www.julien-carton.com/index.php