Envie de visiter une église, ou un monument du patrimoine, sans sortir de chez soi ? Allez faire un tour sur le site de l'association audomaroise Oriell ! 
Découvrez la Cathédrale de St Omer sous un nouvel angle, grâce à la photographie 360° : c'est comme si vous y étiez !

Passionné de photo ? Vous pouvez même vous initier à la photo 360° avec l'association, ou contribuer sur le site internet.

...Bonne découverte...

Ici je découvre Oriell.fr

Dès samedi prochain, le 10 décembre, l'aumônerie reprend du service sur la Grand' Place de St Omer !

Pour faire vivre le marché de Noël, et l'aumônerie, nous avons besoin de VOUS : jeunes, parents, grand-parents ... 

N'hésitez donc pas à nous envoyer un mail ou nous téléphoner, pour vous inscrire dans les cases restées vides.

Et cette année, nous innovons : vous pourrez bientôt découvrir un échantillon des produits mis en vente et en réserver par internet !

A très bientôt, l'équipe de l'aumônerie de St Omer

Dimanche 27 novembre : [Isaïe]

Pour s'adresser à l'homme, Dieu a le choix : soit il s'adresse à nous par la voix de la conscience, dans la prière par exemple, soit il passe par des hommes que l'on appelle prophètes, ce sont ceux qui « parlent au nom de Dieu ».

Noël, c'est la naissance de Jésus. Dans l'Ancien Testament, de nombreux prophètes annoncent sa venue. Mais comment savoir qui sera le messie ? De nombreux « candidats-messie » ont été dénombrés au 1er siècle, le siècle où Jésus est venu.

Isaïe est un prophète de l'Ancien Testament dans la Bible, il aurait vécu 800 avant Jésus Christ. Les Chrétiens voient dans les prophéties d'Isaïe l'annonce de la venue du Messie.

Prenons le temps de lire une prophétie d'Isaïe :

[Isaïe 7, 13-16]

Alors Ésaïe lui dit : « Écoutez-moi, toi et ta famille, les descendants de David. On dirait que cela ne vous suffit pas d'épuiser la patience des hommes, et qu'il vous faut aussi épuiser la patience de mon Dieu. Eh bien, le Seigneur vous donne lui-même un signe : la jeune femme va être enceinte et mettre au monde un fils. Elle le nommera Emmanuel, «Dieu avec nous» . L'enfant sera nourri de crème et de miel, jusqu'à ce qu'il soit capable de refuser ce qui est mauvais et de choisir ce qui est bon. Avant même que le petit garçon soit en âge de faire cette différence, le territoire dont les deux rois te font si peur sera abandonné par ses habitants.

→ Qui est cet « Emmanuel » dont parle le prophète Isaïe ?

→ Si quelqu'un m'annonçait la venue d'un Sauveur aujourd'hui, comment je réagirais moi ?

Par ton baptême, tu es toi aussi appelé à dire à ton prochain ce que Dieu attend de lui. Il n'est pas nécessaire d'être un beau parleur de d'attendre des résultats spectaculaires. Tu ne verras peut-être jamais la conversion d'un ami à qui tu as parlé de ta foi, mais tu auras semé des graines dans son cœur.

Le prophète ne se contente pas de donner des leçons, il les vit. Accepter d'être prophète, de témoigner de ma foi, c'est accepter que les fruits soient produits de Dieu, et remettre notre travail entre ses mains.

→Dieu me demande-t-il à moi aussi d'être prophète ? Comment suis-je prophète dans ma vie ?

***

Cher Père Castor,

Comment vas-tu ?

Maman m'a puni, je peux pas regarder la télé, c'est triste pour un samedi soir. En plus, c'est pour quelque chose de très bête, mais maman elle veut pas comprendre. Et en plus papa il dit que si maman a dit alors elle a sûrement raison... En fait je me suis disputé (maman elle m'a dit que dans les lettres il fallait pas mettre de gros mots, surtout à son parrain...) avec Pierre, tu sais, le voisin à la TOB, en plus pour rien, une histoire de jeu vidéo qu'il avait dit qu'il était plus fort que moi alors que c'est pas vrai... Maman l'a su, et elle m'a dit que c'était pas bien, et que quand on était chrétien il fallait aimer tout le monde...

Moi je sais pas trop si je peux aimer tout le monde ! Maman, ouais, ça va, papa aussi, ma soeur et mon frère parfois c'est plus difficile parce qu'ils sont pas toujours gentils, des amis, je peux dire que je les aime, mais bon, y'a une fille à l'école elle fait rien que m'embêter en me lançant des billes de papier dans le dos... J'ai le droit de ne pas l'aimer elle, non ? Sinon c'est pas juste.

Il parait que c'est parce que Jésus un jour il a dit qu'il fallait qu'on s'aime tous comme lui il nous a aimé. Mais Jésus il aimait vraiment tout le monde ? C'est pas possible d'aimer tout le monde, si ?

Et toi, tu aimes tout le monde ? Tu en penses quoi ?

Toi, en tout cas, je t'aime !

Paul

Cher Paul,

Je suis heureux de savoir que quand tu es privé de télé tu te retournes vers le crayon pour m'écrire une lettre... Je devrais peut-être écrire à ta mère pour qu'elle te punisse plus souvent...

Je comprends ta question et c'est vrai que lorsque l'Evangile nous dit "Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (Mt 22), c'est un peu gonflé et ambitieux ! Parce que bon, l'homme il est pas toujours un très bon modèle d'amour en fait... Un homme qui s'appelait comme toi, Paul, qui est devenu saint le constate très bien : "En effet, je ne fais pas le bien que je veux et je fais le mal que je ne veux pas." (Romains 7,19). Alors oui, parfois ce n'est pas facile d'aimer tout le monde, et ta maman n'a pas tort, nous devrions essayer vraiment d'aimer tout le monde...

Saint-Paul, encore lui, a fait un très beau poème sur l'amour qui est aussi traduit par la charité dans ta Bible de Jérusalem (tu peux aller le lire dans la première lettre aux Corinthiens, chapitre 13.) Mais quand on parle de charité aujourd'hui on pense tout de suite à donner de l'argent aux pauvres, envoyer de l'aide dans les pays en difficulté. Est-ce que c'est de l'amour ? C'est plutôt un effet de l'amour. Et tu peux faire cela sans avoir d'amour du tout, par remords, par pitié, ou pour faire bien devant tes copains.

Saint-Paul il parle de la charité du coeur, une charité que nous pouvons tous mettre en pratique, riches et pauvres, parce que ce n'est pas une question d'argent. Tout le monde peut la donner ou la recevoir. Pour cela, il suffirait de changer son regard sur les gens et les situations qui nous entourent pour adopter un regard de bienveillance, de compréhension... Mais quel est ce regard ? Simplement le regard avec lequel Dieu nous regarde...

Tu te rappelles d'avoir parlé de la Genèse avec la dame du caté comme tu l'appelles ? Dès le deuxième chapitre du premier livre de la Bible, Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme (Ge 27). Alors si nous avons été créé à l'image de Dieu, nous avons tous une petite part de Dieu en nous, qui que nous soyons. Et aussi tous ceux qui nous entourent on cette petite part de Dieu. Alors nous pouvons aimer cette personne, parce qu'elle est aimée de Dieu (euh, je me perds un peu là, non ?)

Dieu, quand il aime, il ne dit pas qu'il aime toute l'humanité en général ! Il aime chacun de nous, personnellement et concrètement; là où nous vivons. Et alors, Jésus ? Il aimait tout le monde ? Ah ! il nous a dit "Aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimé" (Jean 15, 12), Ca peut faire peur parce que lui, il nous a aimé jusqu'à mourir pour nous... Donc, oui, dans l'Evangile, il aime tout le monde, même ceux qui ne pensaient pas comme lui et tentait de le prendre au piège. Mais cet amour était plus spécialement dirigé vers ses proches, tous ses disciples, les malades qu'il a guérit, les femmes qui le suivaient...

Pour aimer tout le monde, il faut commencer par aimer les gens autour de nous. Il n'est pas facile d'aimer tout de suite !

Et puis, bon, cette fille qui te lance des boulettes dans le dos, si tu n'arrives pas à l'aimer, tu peux lui témoigner de la bonté, de la générosité, tu n'es pas obligé d'être méchant avec elle ! Tout ça ce sont des marques de l'amour de Dieu.

Bien à toi,

Père Castor

PS : pour les vacances de Noël, tu voudrais venir à la maison passer quelques jours ?

Samedi dernier, le 19 novembre, c'était un peu du "3 en 1" à l'aumônerie.

Les lycéens se sont retrouvés autour du thème : "se mettre au service des autres, à l'image du Christ" (de 1). Un thème qui collait parfaitement avec la fête du Christ Roi, célébrée lors de la messe animée par les jeunes le soir même (de 2). Et qui s'illustrait parfaitement avec la journée nationale de collecte pour le Secours Catholique, le même jour (et de 3) !

A l'aumônerie, nous avons donc vécu une après-midi "3 en 1" avec les lycéens :

1 - réflexion sur l'Evangile selon St Jean du lavement des pieds, actualisé par les jeunes à travers un skecth sur le service, dans lequel Juda piratait un ordinateur irréparable par le SAV, mais sauvé grâce à l'intervention divine...

+

2 - l'habituelle "pépite du net", une vidéo que nous vous invitons à voir ou découvrir : 

+

3 - crêpes au nutella pour se réconforter de tant d'efforts !  

Une fois n'est pas coutume, voici un livre conseillé à partir de 9 ans, et en plus il y a des images... Ca devrait coller pour beaucoup d'entre nous.

Dès l'illustration de couverture, nous sommes dans l'ambiance de ce petit roman de 90 pages. Trois pingouins discutent et se chamaillent sur la banquise (parce que, si vous ne le savez pas, les pingouins sont des animaux très belliqueux, l'un donne un coup de pied à l'autre, l'autre lui répond, s'ensuit une grande bagarre... c'est Ulrich Hub, l'auteur qui nous l'apprend.) Ils parlent de Dieu... Le petit pingouin, celui qui porte un bonnet avec un pompon n'y croit pas, les autres si, alors ils se disputent.

Mais voilà qu'une grande nouvelle arrive : Dieu a décidé de punir les hommes et de ne sauver que deux représentants de chaque espèce présente sur Terre. Ceux-ci reçoivent une invitation. Mais ils ne doivent pas rater l'heure car l'Arche part à 8 heures ! Et ils sont trois... Parce que, bien que belliqueux, ce sont de très bons amis, pas question de se séparer ! Et donc consigne de Dieu ou pas, ils monteront à trois dans l'Arche !

Les pingouins rivalisent d'ingéniosité pour duper la colombe, maître à bord de l'Arche.

L'auteur fait vivre le récit du Déluge, de Noé et de son Arche du regard de ses pingouins. Exercice périlleux que celui de réécrire cet épisode biblique mais réussi avec brio et la complicité de l'illustrateur, Jörg Mühle, qui à chaque page nous offre un dessin plein de tendresse et de drôlerie. Le lecteur retient son souffle, rit et s'interroge avec les pingouins, sur Dieu, le bien et le mal.

Pas besoin d'avoir de fines connaissances théologiques pour entrer dans le récit et se laisser happer par les mots. Dépêchez-vous de le dévorer, et n'oubliez pas, l'Arche part à 8 heures.

Déjà couvert de prix (prix de  la meilleure  pièce  radiophonique et prix de la meilleure pièce de théâtre 2006 (Allemagne), Prix Tam-Tam j'aime lire 2008 (salon  de Montreuil), prix Sorcières (association de librairies jeunesse) 2009) l'Arche part à 8 heures ravira tous les lecteurs jeunes et moins jeunes... (testé pour vous, mon livre est en route pour Bruxelles !)

Présentation de l'éditeur

Trois pingouins (deux grands et un petit) discutent sur la banquise. 

" C'est qui, Dieu ?

- Il est grand, tout-puissant et invisible !

- Invisible ? Mais alors, comment savoir s'il existe vraiment ? "

Absorbés par leur discussion, les trois amis ne voient pas tout de suite que la pluie s'est mise à tomber. Et quelle pluie ! Un vrai Déluge ! 

Heureusement, la colombe arrive juste à temps avec des tickets pour l'Arche de Noé. Mais il n'y a que deux places par espèce... 

Vite, il faut trouver une solution ! L'Arche part à huit heures !

Ce week-end, c'était Noël un peu en avance pour la tisanerie de notre vieille maison du 37...

Des outils, des planches de bois un peu partout, deux tubes de colle, clous et vis en grand nombre : ce n'est pas un mécano d'un nouveau genre, mais un meuble en kit pour rafraîchir la déco !

Quelques photos de nos courageux bricoleurs, menuisiers improvisés et un grand merci à Jocelyne, François, Sébastien, Michel, Annie et Alice pour leur coup de main ou soutien moral ! 

Au détour d'une librairie (même pas catho) où je m'étais volontairement perdu, je suis tombé sur un drôle d'ouvrage à la couverture blanche et bleue, les traits du dessins sont un peu fouilli et le titre m'interpelle : "L'abbé". Je la prends et regarde le quatrième de couverture :

"- Qu'est-ce qui se passe quand vous êtes ainsi... en prière ?

- Je suis en adoration.

- Je ne comprends pas.

- C'est comme un éblouissement supportable.

- Je ne comprends toujours pas.

- Vous avez d'éjà vu le regard d'un enfant ?

- Oui.

- Je me mets devant le regard d'un enfant."

Alors je feuillette, et repars en l'achetant.

A l'intérieur le dessin est noir et blanc. L'auteur le dit lui-même, il n'est pas croyant, la religion il en est loin. Il rencontre l'abbé Pierre dans les années 90, et tous les deux ils construisent cette bande dessinée. Peut-on dire que ce n'est pas une bédé sur l'Abbé Pierre mais une bédé de l'Abbé Pierre ? Peut-être. C'est un livre humble sur un homme simple.

Edmond Baudouin nous raconte l'histoire de quatre jeunes de banlieue qui rejoint les combats de l'Abbé Pierre. Des parallèles, des mots d'amour et de sagesse et un peu d'humour...

Extrait : "L'Abbé Pierre a construit sa vie comme un tableau, en recherchant la perfection. Les couleurs qu'il a choisies sont l'amour, sa foi en Dieu et une grande force qu'il est allée checher au coeur d'une extrême faiblesse. Il a souvent été malade, quelque fois souffrant. De sa fragilité, son amour, sa foi, il a su faire une peinture qui, comme toute oeuvre d'art, donne envie de vivre celui qui la contemple. Et, comme tous les grands artistes, il n'est pas sûr d'avoir réussi."

"On me dit : "C'est admirable ce que vous faîtes." Mais moi je vois surtout ce que je n'ai pas fait."

Le président d'Emmaüs France préface la bande dessinée ainsi : "Voici un livre qui raconte la vie d’un homme simple, Un homme qui avait compris que la seule richesse qui vaille se trouve dans la rencontre de l’autre quel qu’il soit, et que la rencontre permet de se sentir exister et considéré."

Un beau livre à partager pour réfléchir et se replonger dans la vie de cet abbé dont l'action nous marque encore...

Rêvez de changer le monde et changez-le

Et si votre GPS intérieur vous amenait à vous laisser guider par le Seigneur ??? 

Au départ, un constat : un peu partout, des collégiens et des lycéens expriment le désir de cheminer vers l’un des 3 sacrements de l’initiation chrétienne (Baptême – Confirmation – Eucharistie). Ces demandes sont accueillies et accompagnées, tantôt en aumônerie, tantôt en paroisse, tantôt au sein d’un établissement catholique d’enseignement, tantôt dans un mouvement….Cependant, il est assez rare que tous ces jeunes, notamment ceux qui se préparent au baptême ou à la communion, aient l’occasion de se retrouver et de découvrir tous ensemble la richesse d’une rencontre diocésaine autour du pasteur de notre diocèse, le Père Jaeger.

Alors, l’idée a germé dans l’équipe d’organiser un évènement au cours duquel les collégiens et les lycéens se préparant à recevoir un sacrement pourraient se rencontrer et partager leurs questions, leurs joies, leurs doutes, leurs découvertes etc. Et pourquoi ne pas l’ouvrir à celles et ceux qui l’auraient vécu de façon toute récente ? Le pari est lancé : rendez-vous est pris pour le dimanche 15 janvier à la maison diocésaine d’Arras.

Notre défi : que ce ne soit pas seulement les jeunes concernés qui viennent, mais qu’ils soient accompagnés par les copains et copines d’une l’équipe d’aumônerie, d’une paroisse, d’un mouvement, d’un établissement catholique d’enseignement, afin que tous se sentent membres d’une même famille et que chacun puisse découvrir ou re-découvrir le sens de son baptême, la grâce de l’eucharistie, la force de l’Esprit.

A l’invitation du roi Hérode « Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant » (Mt2, 8), les jeunes suivront une feuille de route qui proposera des ateliers variés en fonction des différents âges des participants et s’appuyant sur les 4 pôles de la démarche catéchuménale :

La Parole de Dieu : Expérience d’une Parole de Dieu qui rejoint et interpelle chacun au cœur de sa vie,

Conversion : Expérience de relire sa vie qui nous invite à des questions, des choix, des retournements pour suivre le Christ,

Prière : Expérience de différentes pratiques de la prière personnelle et communautaire,

Une vie en Église : Expérience d’une vie communautaire qui ressource, nous constitue en frères et sœurs, nous envoie au service du monde dans lequel nous sommes situés.

Article d'après Canal Jeunes du journal "Eglise d'Arras" oct 2011

Cherche. Cherche. Cherche.

Coupe. Coupe. Coupe.

Colle. Colle. Colle.

Lèche. Lèche. Lèche. (pas bon goût la colle de l'enveloppe...)

Copie. Copie. Copie.

Aujourd'hui, dimanche 20 novembre 2011, c'est la fête de Christ Roi, dernier dimanche de l'année liturgique.

Dimanche prochain, c'est la nouvelle année, on va pouvoir sortir les cotillons et le foie gras pour fêter ça ! Ah, non en fait, c'est pas le 31 décembre, c'est la nouvelle année liturgique. Nous entrons dans l'Avent. L'Avent c'est la route vers Noël. La période où l'on commence à courir les magasins pour trouver LE cadeau idéal, pour préparer son réveillon et faire la fête avec sa famille. Mais le cadeau idéal de Noël, il nous est offert sans même que l'on ait besoin d'écrire au Père Noël, ce vieux bonhomme rouge et blanc avec sa hotte et son traineau. Dieu se fait homme. Sacré cadeau ! C'est un cadeau tellement beau que nous sommes invités à nous préparer à le recevoir... pendant tout l'Avent.

Un jour un père voulait faire patienter ses enfants jusqu'à Noël. Il fit alors un petit calendrier pour tous les jours, avec des prières, des actions à faire pour chaque jour pour chacun de ses enfants. C'était le premier calendrier de l'Avent. Aujourd'hui, les calendriers de l'Avent de nos amis les supermarchés ne proposent plus de faire des efforts mais offrent chaque jour un bonbon, un chocolat, un Playmobil... pas grand chose pour se préparer à la venue de Jésus en fait, même si les chocolats ont sa forme.

Alors nous avons fait notre calendrier que l'on ne trouvera jamais chez nos amis les supermarchés. Un calendrier en enveloppes avec des dimanche "surprises" (ils seront sur le blog chaque dimanche midi), des lundi "efforts" -une action à faire pendant la semaine- des mardi au vendredi "prières" -avec des textes, des images, des phrases de la Bible- et des samedi "relecture" -trois questions pour réfléchir à la semaine qui vient de passer-. Nous avons relié tout cela par un fil, et l'avons offert à quelqu'un d'autre. Comme ça, chaque fois que nous ouvrirons une enveloppe, ce sera une surprise.

Alors...

Cherche. Cherche. Cherche.

Coupe. Coupe. Coupe.

Colle. Colle. Colle.

Lèche. Lèche. Lèche.

Copie. Copie. Copie.