Publié le 30 Novembre 2007

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Studieux ?

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Arrivée de Florentin sous les hourra !

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A machine infernale, bruit infernal !

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Rédigé par Fañch

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Publié le 30 Novembre 2007

terre.JPGLa semaine dernière, nous avons commencé par un jeu sur les inégalités de richesses.Nous devions nous répartir dans chaque continent selon sa population. Ensuite, le but était de prendre autant de chaises qu'il y avait de richesses dans ce continent. A la fin, nous en avons déduit que l'Afrique n'avait pas de chaise pour deux personnes, que l'Amérique du nord avait 3 chaises pour une personne, celle du sud une pour une personne, l'Asie quatre pour huit personnes et l'Europe en avaient 5 pour une seule personne : les richesses sont inégalement réparties ! Ensuite nous avons fait un débat "allumettes" sur le sujet. 
La prière a été faite en haut, elle était très calme jusqu'à l'arrivée de ce cher pompier qui pensait sûrement avoir atterri dans une crèche. 
Puis place au repas fait par claire et moi. Au menu: omelette frites. Claire s'étant occupée de l'omelette, elle avait un "très bon" goût, sans trop savoir pourquoi... Ensuite débarrassage de la table et... la traditionnelle bataille de coussins.
                                                                                    Flo

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Rédigé par Florentin

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Publié le 26 Novembre 2007

SCÈNE 1 : Narrateur / Arthur / René 
Narrateur: L'histoire que nous allons vous raconter est celle du père Martin. Elle se passe en décembre 1881. Le père Martin n'est qu'un pauvre cordonnier, il habite dans une pièce au rez-de-chaussée d'un immeuble qui fait l'angle de la place de Lenche et de la rue des Martégales, au centre du vieux quartier de Marseille. Une seule pièce qui lui sert d'atelier, de salon, de magasin, de cuisine et de chambre à coucher. C'est là qu'il vit ni trop riche ni trop pauvre. Assis sur son tabouret, dans son atelier bien chauffé il répare les chaussures de tout le voisinage. Dehors la bise souffle et ce vent venant du Nord glace les quelques passants.
Arthur : Salut René, fait bien froid aujourd'hui, j'me d'mande s'il va pas neiger.
René : Ben quoi c'est normal, on est en décembre après tout.
Arthur : Ben oui.
René : Au fait, t'as pas remarqué que le vieux Martin ne vient plus au café des Argonautes.
Arthur : Ouais, c'est bien vrai ça. J'crois que c'est depuis qu'il est allé à ces soirées à l'église, tu sais chez le pasteur.
René : C'est vrai ce que tu dis là, il va à l'église, j'aurais pas cru ça de lui. Enfin, j'trouve qu'il va pas trop mal, il rigole un peu plus qu'avant.
Arthur : Tu sais, il n'a eu guère de chance le pauvre vieux, sa femme est morte il y a plus de vingt ans, son fils, parti comme matelot à bord du brick Le Phocéen, n'a plus reparu depuis dix ans et puis sa fille, il n'en parle jamais.
René : Ouais, il est bien seul.
Arthur : Enfin ! Le bonjour à Germaine !
 SCÈNE 2 : Narrateur / Martin / La voix
 Narrateur : La journée passa, le père Martin travaillait assidûment, il réparait galoches et chaussures avec beaucoup de soin. Le soir venu, le père Martin s'assit sur son lit et ouvrit une vieille Bible qu'il avait jadis reçue de ses parents.
Martin : Il n'y avait pas de place pour eux dans l'hôtellerie... Point de place... Pour lui, (il regarde sa chambre) il y aurait eu de la place pour lui ici…J'aimerais bien qu'il vienne me tenir compagnie. Si ce soir le sauveur devait venir, croyez-vous qu'il choisirait ma maisonnette pour y entrer... Comme je le servirais, comme je l'adorerais! Mais au fait, pourquoi ne se montre-t-il plus aujourd'hui ? Enfin... (il se met à lire) « Des mages de l'orient arrivèrent pour lui rendre hommage » tiens, tiens des mages ? « trouvant l'enfant ils se prosternèrent et lui offrirent des dons, de l'or, de l'encens et de la myrrhe. » Que pourrais-je lui donner ? (il se gratte la tête, se promène dans son atelier). Oui je lui donnerais ces deux petits souliers... Mais je radote... Comme si mon sauveur avait besoin de ma petite maison et de mes souliers. (Martin s'assit et s'endormit… Silence)
La voix : Martin
Martin : Qui va là ? (en sursaut, mais il ne vit personne).
La voix : Martin ! Tu as désiré me voir, eh bien regarde dans la rue demain, du matin jusqu'au soir, tu ne me verras passer plusieurs fois. Efforce toi de me voir, car je ne me ferai pas connaître à toi.
Martin : (en se frottant les yeux) C'est lui ! II a promis de passer ! Alors je l'attendrai. Mais je ne l'ai jamais vu, juste des portraits à l'église, bah, je vais bien pouvoir le reconnaître. (LA NUIT - LE MATIN - Martin se lève et s'installe derrière sa fenêtre).

SCÈNE 3 : Narrateur / Martin / Le balayeur
Narrateur : Tôt le matin, il est à la fenêtre pour guetter les premiers passants, le ciel s'éclaira et le père Martin ne tarda pas à voir paraître sur la place le balayeur de rues ; il ne lui accorda qu'un regard distrait : il avait en vérité, bien autre chose à faire qu'à regarder un balayeur de rues ! Mais, comme il faisait très froid dehors, le père Martin se dit :
Martin : Le brave homme ; il a froid et c'est une fête aujourd'hui... mais non pour lui. Si je lui offrais une tasse de café ! - Entrez, venez vous réchauffer.
Balayeur : C'est pas de refus, merci... Quel temps de chien ! On se croirait en Russie.
Martin : Voulez-vous accepter une tasse de café ?
Balayeur : Ah ! Par exemple, voilà un brave homme ! Avec plaisir, pardi. Vaut mieux tard que jamais pour faire son petit réveillon. (Le cordonnier servit son hôte à la hâte, puis s'empressa de retourner vers sa fenêtre et de sonder la rue pour voir si personne n'était passé).
Balayeur : Qu'est-ce que vous regardez dehors ?
Martin : J'attends mon maître.
Balayeur : Votre maître ? Votre patron vient vous voir un jour de fête ?
Martin : C'est d'un autre maître que je parle.
Balayeur : Ah !
Martin : Un maître qui peut venir à toute heure et qui m'a promis de venir aujourd'hui. Vous savez son nom ? ...  C'est Jésus.
Balayeur : J'ai entendu parler de lui, mais je ne le connais pas. Où demeure-t-il ?
Narrateur : Le père Martin se mit alors, en quelques mots à raconter au balayeur de rues l'histoire qu'il avait lue la veille, en y ajoutant quelques détails. Il se tournait vers la fenêtre tout en parlant.
Balayeur : Alors c'est lui que vous attendez ! A mon avis vous ne le verrez pas comme vous le croyez. Mais c'est égal, vous me l'aurez fait voir à moi. Me prêteriez-vous votre livre ? Je vous garantis que vous n'aurez pas perdu votre temps ce matin. Au revoir.
Martin : Au revoir.
Narrateur : Le père Martin resta seul de nouveau, front collé contre la vitre.

SCÈNE 4 : Narrateur / Femme / Martin
 
Narrateur : Quelques ivrognes attardés passèrent, mais le vieux cordonnier ne les regarda pas. Puis passèrent les marchandes avec leurs petites charrettes. II les connaissait trop bien pour faire attention à elles. Mais, au bout d'une heure ou deux ses yeux furent attirés par une jeune femme, misérablement vêtue et portant un enfant dans ses bras. Elle était si pâle, si décharnée, que le coeur du vieillard s'émut. Peut-être cela le fit-il penser à sa fille. II ouvrit la porte et l'appela. La pauvre femme entendit cet appel et se retourna surprise.
Martin : Vous n'avez pas l'air bien portante.
Femme : Je vais à l'hôpital. J'espère bien qu'on m'y recevra avec mon enfant. Mon mari est en mer et voilà trois mois que je l'attends. Il ne revient pas et cependant je n'ai plus le sou et je suis malade. Il faut que j'aille à l'hôpital.
Martin : Pauvre femme. Vous mangerez bien un morceau de pain en vous réchauffant. Au moins une tasse de lait pour le petit. Tenez, voilà justement le mien, que je n'ai pas encore touché. Chauffez-vous et laissez-moi le marmot, je sais comment ça se manipule. Quoi ! Vous ne lui avez pas mis de souliers ? (Il chercha les souliers qu’il avait regardés la veille et les mit à l'enfant. Il étouffa un soupir en se séparant de son chef-d’œuvre).
Martin : Je n'en ai plus besoin pour personne maintenant. (Il revient à la fenêtre et regarde anxieusement la rue).
Femme : Qu'est-ce que vous regardez là ?
Martin : J'attends mon maître. Connaissez-vous le Seigneur Jésus ?
Femme : Certainement. il n'y a pas si longtemps que j'ai appris mon catéchisme.
Martin : C'est lui que j'attends.
Femme : Et vous croyez qu'il va passer par là ?
Martin : Il me l'a dit.
Femme : Pas possible ! Oh que j'aimerais rester avec vous pour le voir moi aussi... mais il faut que je m'en aille pour l'hôpital.
Martin : Tenez, prenez ce petit livre (il lui tend un évangile), lisez cela attentivement, et ce sera presque comme si vous le voyiez.
Femme : Merci beaucoup. (Il reprit place près de la fenêtre)

SCÈNE 5 : Narrateur / Martin /Enfant/ La voix/ Tous
Narrateur : Les heures passèrent, mais parmi les passants, le père Martin ne vit pas le maître : les jeunes gens, les vieillards, les ouvriers, les ménagères, les grandes dames, tout ce monde passa devant lui, bien des mendiants supplièrent le brave homme, son bon regard semblait leur promettre quelque chose : ils ne furent point déçus... (pause) Cependant le maître ne paraissait pas. Ses yeux étaient fatigués, son coeur commençait à défaillir (pause). Doucement vint la nuit, accompagnée de brouillard. II devenait désormais inutile de continuer à regarder par la fenêtre. Tristement il prépara son souper.
Martin : C'était un rêve. Pourtant je l'avais bien espéré.
Narrateur : II ouvrit son livre et voulut se mettre à lire, mais sa tristesse l'en empêcha.
Martin : Il n'est pas venu ! Il n'est pas venu ! Il n'est pas venu ! (Grande lumière et présence de toutes les personnes).
Chacun : Ne m'as-tu pas vu ?
Martin : Mais qui êtes-vous donc ?
Enfant : Mais lisez père Martin. (En pointant sur le livre ouvert dans les mains du père Martin).
La voix : J'ai eu faim et vous m'avez donné à manger... J'ai eu soif et vous m'avez donné à boire... J'étais étranger et vous m'avez accueilli... Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits, vous les avez faites à moi-même.


Adaptation d'un conte de Ruben Saillens
 

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Rédigé par Fañch

Publié dans #Le coin Prière

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Publié le 25 Novembre 2007

Nous avons commencé par nous réunir pour parler de ce qure nous allions faire dans notre journée. Ensuite nous avans chanté des chants. Puis nous avons tiré au sort pour savoir avec quel accompagnateur, ou accompagnatrice nous allions être. Moi, je suis allée avec Coralie et sophie.
Pour commencer nous avons fait un jeu de l'oie : à chaque petite case, Coralie et Sophie nous lisait un paragraphe, tout le monde a gagné.
Puis nous avons mangé, puis nous avons fait des jeux (un bérêt, un foot...)
Après nous sommes allés à l'église à Arques. Il y avait une sorte de jeu de piste. Il fallait retrouver la bougie, le livre, la coupe, le tabernacle, l'agneau... Après nous avons fait un temps de prière.
Nous sommes rentrés, on a changé d'activité : ceux qui faisaent la vie de Moïse allaient à l'église et inversement. Dans notre salle nous avons fait la vie de Moïse. Il fallait peindre la séquence losrsque Moïse devait lever les 2 bras dans le ciel pour que la guerre entre les Egyptiens et le peuple de Moïse, les Hébreux.
Quand nous avons fini, nous nous sommes retrouvés dans la grande salle. Grâce à nos dessins, nous avons pu reconstituer la vie de Moïse.
Ce que j'ai préféré ? Reconstituer la vie de Moïse.

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Rédigé par Honoré

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Publié le 19 Novembre 2007

undefined« Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux :
un temps pour naître, et un temps pour mourir ; un temps pour planter, et un temps pour arracher ce qui a été planté ;
un temps pour tuer, et un temps pour guérir ; un temps pour abattre, et un temps pour bâtir ;
un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; un temps pour se lamenter, et un temps pour danser ;
un temps pour lancer des pierres, et un temps pour ramasser des pierres ; un temps pour embrasser, et un temps pour s'éloigner des embrassements ;
un temps pour chercher, et un temps pour perdre ; un temps pour garder, et un temps pour jeter ;
un temps pour déchirer, et un temps pour coudre ; un temps pour se taire, et un temps pour parler ;
un temps pour aimer, et un temps pour haïr ; un temps pour la guerre, et un temps pour la paix. »


(Ecclésiaste 3, 1-13)

Quelle phrase ou expression j’ai envie de garder pour le moment, celle qui me parle le plus ou qui me touche, celle peut-être qui me dérange le plus ?

 

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Rédigé par Chlotilde & Sébastien

Publié dans #Le coin Prière

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Publié le 13 Novembre 2007

scout-noel-retaillee-copie-2.jpg"NOTRE PÈRE QUI ES AUX CIEUX..."
- Oui ?
"S'il te plait ne m'interromps pas, je prie."
- Mais tu viens de m'interpeller.
"Moi, t'interpeller ? Enfin oui, non, à vrai dire non. Nous prions ainsi : Notre Père qui es aux cieux... "
- Tu vois tu m'appelles encore. Veux-tu me parler ?

"QUE TON NOM SOIT SANCTIFIÉ"
- Crois-tu cela sérieusement ?
"Que dois-je prendre au sérieux ?"
- Veux-tu vraiment sanctifier mon nom ? Sais-tu au moins ce que cela signifie ?
"Cela signifie, cela signifie... Bonté divine, je ne sais pas ce que cela signifie. Comment le saurais-je ?"
- Cela veut dire que tu veux m'honorer, que je suis unique pour toi, que mon nom t'est précieux.
"Ah oui, cela je le comprends…"

"QUE TON RÈGNE VIENNE, QUE TA VOLONTÉ SOIT FAITE SUR LA TERRE COMME AU CIEL."
- Fais-tu quelque chose pour cela ?
"Pour que ta volonté se fasse ? Bien sûr, je vais régulièrement à l'église, je donne à la quête, pour les missions."
- Mais je veux plus.
Je voudrais que ta vie soit en ordre.
Que tu domines tes habitudes qui énervent les autres.
Que tu apprennes d'eux.
Je voudrais qu'une aide soit apportée à tous les hommes, afin qu'ils arrivent à la vérité.
Je veux que les malades soient guéris, consolés ceux qui sont dans la tristesse et libérés les prisonniers.
Tout ce que tu feras pour ces gens, tu le feras pour moi.
"Pourquoi me reproches-tu cela à moi ? Sais-tu combien de riches hypocrites sont assis dans les églises ? Adresse-toi d'abord à eux."
- Excuse-moi, je pensais que tu priais pour que mon règne vienne et que ma volonté soit faite ? Cela commence toujours concrètement chez celui qui prie pour cela. C'est seulement lorsque tu voudras la même chose que moi, que tu pourras être le messager de mon Royaume.
"Oui, je pige. Pourrais-je continuer maintenant ma prière?"

"DONNES-NOUS AUJOURD'HUI NOTRE PAIN DE CE JOUR."
- Te rends-tu compte combien de kilos tu as de trop ? Si tu pries ainsi tu t'engages à faire quelque chose afin que les millions d'hommes affamés aient tous les jours leur pain.

"PARDONNES-NOUS NOS OFFENSES, COMME NOUS PARDONNONS AUSSI À CEUX QUI NOUS ONT OFFENSÉ."
- Et quelle est donc cette histoire avec Daniel ?
"Je t'en prie, ne me parle pas de celui-là. Tu sais combien il me décrie, il est tellement insolent envers moi, que je vois rouge avant même qu'il ouvre la bouche. En plus, il le sait et il se fiche de moi. Ce type a …"
- Je sais, je sais… et ta prière ?
"Ce n'est pas ainsi que je l'ai comprise."
- Au moins tu es sincère. Est-ce que cela t'amuse de te balader avec tant d'aigreur et d'antipathie ?
"Cela me rend malade."
- Je veux te guérir. Tu y perdras peut être un peu de ta gloriole, mais cela t'apportera la paix.
"Hum ! Je ne sais pas si j'arriverai."
- Je t'aiderai.

"ET NE NOUS SOUMETS PAS À LA TENTATION, MAIS DÉLIVRE NOUS DU MAL."
- Moi, rien ne me tient plus à cœur que cela ; encore faut-il que tu évites les personnes et les situations qui te mettent en tentation.
"Que veux-tu dire par là ?"
- Tu connais tes points faibles : manque de caractère, ton attitude ambiguë face à l'argent, le sexe, la violence... Ne donne pas prise à la tentation.
"Je crois que voilà le "Notre Père" le plus difficile que j'aie jamais prié. Mais c'est bien la première fois que cela a un rapport avec ma vie."
- Vois-tu, c'est ainsi que nous avancerons. Termine maintenant tranquillement.

"CAR C'EST A TOI QU'APPARTIENNENT LE RÈGNE, LA PUISSANCE ET LA GLOIRE, POUR LES SIÈCLES DES SIÈCLES."
- Sais-tu ce que je trouve merveilleux ? C'est quand des hommes comme toi commencent à me prendre au sérieux, à prier sincèrement, à me suivre et à faire ensuite ce qui correspond à ma volonté. Quand ils remarquent que leur action pour mon Royaume les rend heureux eux-mêmes.

"AMEN"

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Rédigé par Les confirmands

Publié dans #Le coin Prière

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Publié le 12 Novembre 2007

urgent.jpg         Une seule maman était présente lors de l’assemblée Générale Extraordinaire du 8 Novembre 2007. Cela démontre que les parents n’ont pas encore  conscience du rôle déterminant   qu’ils ont dans la vie de l’Aumônerie de l’Enseignement Public, ce que nous n’avons peut-être pas su nous-mêmes leur expliquer.
           Si  l’Aumônerie de l’Enseignement Public existe, c’est aux parents et à eux seuls qu’on le doit : ce  sont eux, dont les enfants sont inscrits dans les collèges et lycées publics, qui ont demandé qu’il y ait un lieu où ceux-ci pourraient  continuer leur cheminement de foi, qui n’était pas inclus dans leur parcours scolaire. C’est ainsi que la loi a créé  les Aumôneries de l’Enseignement Public.
           Celles-ci accompagnent leurs enfants sur le chemin de la foi tout au long de leurs années de collégiens et de lycéens, grâce au dévouement de nombreux bénévoles. De plus à Saint- Omer nous avons depuis plusieurs années des animateurs en pastorale  salariés missionnés par notre Evêque. Ne laissons pas passer cette chance. 
           Mais pour que ces personnes puissent accomplir cette mission en toute sérénité, il faut les épauler pour  la gestion de la « Maison », des finances, de l’entretien : c’est le rôle du Conseil d’Administration. Grâce à vos cotisations, vous ETES le conseil d’administration, et celui-ci doit être représenté par un Bureau qui comprend :
           Un (ou une) président, qui représente l’Aumônerie auprès de la société civile, (mairies, associations diverses, etc…
           Un (ou une) secrétaire qui établit les comptes rendus, envoie les convocations, les courriers, (et rappelle parfois au président les prises de dates)
           Un (ou une) trésorier qui tient les comptes et les présente, établit les demandes de subventions. Avec les animateurs  de la pastorale, il veille à ce que les dépenses favorisent bien les projets pastoraux.
 
             Et si possible chez nous, qui avons la chance de posséder un lieu, notre « maison », quelques membres actifs : fées du logis pour l’entretien, messieurs bricolage pour les petites réparations, et toute bonne volonté en aide aux activités à l’initiative de projets pour les jeunes…. Etc…
 
           C’est dans cette maison que les jeunes se  retrouvent tout au long de l’année : nous  faisons tout pour que ce soit « leur » maison, où   ils aiment se réunir  dans une ambiance particulière, entre l’ambiance studieuse où ils se posent  les « grandes (et petites) questions » et l’ambiance détente qu’ils apprécient  aussi lors d’un temps récréatif, d’une activité ou d’un temps « fort ».
           Vous le voyez, vous n’avez pas besoin de compétences particulières pour nous rejoindre, mais simplement  l’envie de donner un peu de votre temps, et de vivre quelque chose de très fort au sein d’une grande famille,
           Nous tenons aussi à vous rappeler qu’une association sans Bureau donc sans Conseil d’Administration représenté, est une association qui meurt. Cela en conséquence de la loi sur les Associations  1901, qui stipule qu’une association non représentée doit être dissoute.
LE 1er janvier 2008, il n’y aura plus de bureau : à terme c’est  la vie de l’Aumônerie qui est menacée
C’est pourquoi nous vous invitons de nouveau pour une  Assemblée Générale Extraordinaire
LE MARDI 4 DECEMBRE 2007 de  19 HEURES à 20 HEURES 30
           A L’AUMONERIE DE L’ENSEIGNEMENT PUBLIC  37, RUE DE LA COMMUNE DE PARIS à  SAINT-OMER
Nous serons heureux de vous y accueillir et nous essaierons ensemble de trouver une solution pour faire vivre l’aumônerie à laquelle nous sommes tous très attachés et qui le mérite bien. Pensez-y dès maintenant : toutes les propositions, les idées, les avis seront pris en compte ;  vous pouvez nous joindre :
 Par  téléphone au 03.21.38.26.69 ou par mail : aumoneriesaintomer@yahoo.fr      
      Pour Le Conseil d’Administration, la  Trésorière, Jocelyne LUCAS
     Pour  l’Equipe Pastorale, la  responsable, Florence DELAPLACE

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Rédigé par Jo et Florence

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Publié le 12 Novembre 2007

Il est TEMPS de nous accorder un peu de TEMPS pour prendre le TEMPS de lire notre mail.
Vous vous dites peut-être : "super, il y a bien longTEMPS que nous n'en avions eu !' ou bien alors "ok mais vite fait, parce-que moi, j'ai pas l'TEMPS."
Alors c'est juste pour vous dire que nous prendrons le TEMPS de nous retrouver ce
 
samedi 17 novembre de 18h à 21h à l'aumônerie.
 
Vous avez sans doute deviné que nous parlerons du TEMPS .... Oui mais lequel... ? Celui qu'il fait, celui qui court, celui qui manque, celui qu'on prend, celui qu'on perd .... P'têtre bien tout ça à la fois !!
 
Allez, c'est pas tout ça, mais faut maintenant vous laisser le TEMPS de vous organiser pour. 

AVIS AUX LYCEENS : il y a bien longTEMPS que nous n'avons pas vu certains (Agathe, Florian, Philibert ...) : et si vous preniez le TEMPS de venir ?
 
Ah oui, vous avez le droit de dire si vous venez ou non, même si on ne mange pas ensemble !!
 

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Rédigé par Sébastien

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Publié le 9 Novembre 2007

Mireille et Fañch ont le plaisir de vous annoncer la naissance de la 4ème Fleur de Chou fruit des élucubrations intenses des rédacteurs de génie de l'aumônerie de Saint-Omer. Des nouvelles plus très fraiches, des infos périmées et des photos de souvenirs. La nouvelle Fleur nous plonge dans le proche passé de notre AEP adorée… Alors que Pierre-O nous livre son cheminement de confirmation, Jo nous détaille ses 11 ans d'engagement à l'AEP. Le Mont profile son archange à l'horizon dans un texte digne des plus grands Proust et on annonce une Marche Nocturne qui, finalement, n'aura pas lieu !
Le coin Prière nous parle de noix, l'édito de vacances, qui depuis longtemps sont reléguées dans un coin de tête, et de rentrée tant espérée.
Tu ne l'as pas reçue cette Fleur de Chou ? Ecris-nous vite à aumoneriesaintomer@yahoo.fr, c'est certainement que nous n'avons pas ton adresse mail.
La prochaine Fleur ? Ca dépend de vous ! Pauline et Anaïs se sont engagées à écrire un article sur les étudiants. Un thème te tient à cœur ? Laisse un commentaire et écris-nous un article, nous le ferons paraître…
A vos plumes !

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Rédigé par Mireille & Fañch

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Publié le 8 Novembre 2007

Jeudi soir, à 20h, seule les parents de Bryan (en 6ème), Marjorie et Alexandre (Lycéens), Anne, Solène (collègiennes), Pierre-O (lycéen) et Gabriel (étudiant) nous avait rejoint pour l'assemblée générale.
Pourtant, il n'y a plus de bureau dans l'association, et la loi dit qu'une association sans bureau ne peut pas exister ! Donc l'aumônerie perdrait la structure juridique qui lui permet d'organiser avec beaucoup de faciliter des événements comme le Mont-Saint-Michel, Lisbourg, les fêtes de Noël ou de fin d'année...

Vous les jeunes, vous vous plaisez beaucoup à l'AEP puisque vous y revenez tous les ans, toujours plus nombreux. Vos parents ont aussi leur place à prendre, il peuvent aussi s'impliquer, parfois pour pas beaucoup de temps (un peu de bricolage, un coup de main pour l'entretien, un poste dnas le CA...) Pour que nous continuions à vivre des temps aussi fort que ceux que nous avons vécu jusqu'à présent nous avons besoin d'aide, de soutien.

Nous avons besoin de toi !urgent.jpg

Nous avons besoin de tes parents !

Rejoins-nous pour une nouvelle assemblée générale extraordinaire, le

MARDI 4 DECEMBRE à 19h

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Rédigé par AEP Saint-O

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